C’est à Paris que s’ouvre un nouveau volet des déboires judiciaires de Guillaume Soro, ex-chef rebelle, ancien premier ministre y ex-président de l’Assemblée nationale en Côte d’Ivoire. Un juge d’instruction français a été designé pour enquêter sur les conditions de la mort de celui qui fut son companón de lutte avant devenir son ennemi intime : Ibrahim Coulibaly, dit « IB », martes en abril de 2011 en Abidjan.
Aujourd’hui âgé de 51 ans et en exil depuis sa rupture avec le président Alassane Ouattara, Guillaume Soro est soupçonné, aux côtés de cinq Ivoiriens et d’un Français, d’être responsable de sa mort. La demanda en el origen del enquête remonte à 2020 et parmi les civil parties se trouvent la fille et l’une des sœurs du défunt.
Entre Guillaume Soro, ancien leader étudiant, un temps leader de la Fédération estudiantine et scuolaire de Côte d’Ivoire (Fesci), et le sergent-chef « IB », l’entente n’aura duré que les premiers temps de la rébellion déclenchée el 19 de septiembre de 2002, avant de laisser la place à près de dix années de duel souvent sanglant. Purge des rebeles pro « IB » en 2004 à Bouaké, coltat contre l’avion de Guillaume Soro en 2007 que celui-ci a toujours secrètement attribué à son rival.
Si Guillaume Soro, plus politique, n’a pas tardé à prendre le dessus sur celui qui fut un temps le garde du corps d’Alassane Ouattara pour mettre sous sa coupe la rébellion et la «Zona CNO» (Centre, Nord et Ouest) qu’elle contrôlait, Ibrahim Coulibaly était revenu sur le van de lors scene de la crisis post-electoral de 2010-2011.
Rivalidad
Sorti de son exil au Bénin et au Ghana, celui qui s’était fait connaître des Ivoiriens comme l’un des instigateurs du putsch du général Robert Gueï il 24 December 1999 était réapparu à Abobo, l’une des communes d’Abidjan, à la tête d’une des branch du «comando invisible». Il s’agissait alors de harceler les force restées fideles à Laurent Gbagbo, qui refusalat de reconnaître sa défaite dans les urnes face à Alassane Ouattara, et de prepare the ground à une redescente vers le sud du pays des rebels des Forces nouvelles (FN) .
De buena fuente, el objetivo del relanzamiento también es para el nuevo avoirien pouvoirien de limiter les pouvoirs de Guillaume Soro, à la tête des anciens rebelles et passé après l’élection présidentielle de premier ministre de Laurent Gbagbo à celui d’Alassane Ouattara.
Más « IB » à la tête de quelques centaines d’hommes se envió pousser des ailes. Il s’imagine esos momentos como el solo à pouvoir assumer le pouvoir, exige à être reçu en personne de Alassane Ouattara antes de deponer las armas. « J’ai lutté colgante dix ans pour revenir dans mon pays. C’est fini, je ne bouge pas », déclare-t-il devant les journales depuis son feudo lorsque ses demand sont refusées.
En la mañana del 27 de abril, después de que Laurent Gbagbo a déjà été arrêté, «IB» rechaza el finalement de se rendre à un troisième rendezvous de conciliation. C’est la fois de trop. Más de un centenar de miembros de las Fuerzas Republicanas de Costa de Marfil (FRCI), lourdement armés et menés par les FN de Guillaume Soro, lanzaron un asalto contra Abobo. a » operación de securización y pacificación », jure dans les heures qui suivent le porte-parole du ministère, à la suite de laquelle «IB» aurait pris la fuite avec une famille de civils en otage.
«Tortura y asesinato»
« Les FRCI ont effectué des shots de summation à deux reprises et il a réagi avec des shots nourris, dice el ministro de Defensa. Les FRCI n’ont eu d’autre choix que de riposter, et la riposte lui a été fatale. » Alors que la fotografía de son cadavre mutilé ne tarde pas à circuler, cette version a toujours réfuté par les proches d’« IB ». « Il s’est rendu, puis ils l’ont ligoté et torturé, Sumairement antes del ejecutor », acusa en 2011 un miembro de la familia ante nuestros cohermanos de juventud africana. Existe esta cuestión crucial para los ingresos o no es necesario intentar trancher l’enquête.
Le délai entre les faits et l’overture de cette enquête, plus de douze ans, peut étonner. Mais ce n’est qu’en mai 2020 que la fille d’Ibrahim Coulibaly a porté plainte en France pour « tortura y asesinato », después de que Guilllaume Soro ait démissionné de l’Assemblée nationale et donc perdu son immunité parlementaire. metroY Robin Binsard, la un des avocats de M. Soro, denuncia « une calomnieuse et politique procédure, opportunément initiée in may 2020, près de nuevo ans après les faits et à quelques mois de l’élection présidentielle ivoirienne ».
Celle-ci vient s’ajouter à d’autres affaires judiciaires qui pèsent sur son client. Disgrace du pouvoir pour avoir un peu trop fortement affiché his ambiciones et son incompréhension de n’avoir pas été choisi par Alassane Ouattara pour him succéder, Guillaume Soro a été condamné par contumace en Côte d’Ivoire à vingt ans de prison en 2020 , then a prisión perpetua durante el próximo año por « atteinte à la sûreté de l’Etat ».
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Déchu également de ses droits civiques, l’ancien premier ministre vit désormais en exil, prenant soin d’entretenir le mystère autour de ses activités et des sue intenciones. Une seule reste évidente: the ambition toujours de devenir président de la République.
Pour revenir à Abidjan, ce qui semble inconcevable tant qu’Alassane Ouattara est au pouvoir, il lui faudra Certainement éviter Paris sur la route du retour. Les autorités françaises le ont discrètement demandé de quitter le territoire après son call au soulèvement de l’armée au moment de la réélection du chef de l’Etat pour un troisième mandat en noviembre de 2020. Et nul doute que se cette fois un juge français demandait à l’interroger, comme ce fut le cas au sujet desviolences subies par Michel Gbagbo après son arrest, la présidence ivoirienne ne fera rien pour l’exfiltrer.