Après les scenenaristes le 2 mai, les acteurs américains entamé un mouvement de grève jeudi 13 juillet. Comme leurs camerades de l’écrit, ils réclamment de meilleurs revenus du streaming et des Garanziaes contra la irrupción de la inteligencia artificial en el mundo de la imagen y del niño.
La grève a été annoncée après un vote du bureau du SAG-AFTRA (Sindicato de Actores de Pantalla – Federación Estadounidense de Artistas de Televisión y Radio), el sindicato que representa a 160 000 comédiens travaillant dans le cinéma, la televisión y la radio. En un minuto, los actores americanos cesaron sus actividades, ya fuera un tournage o una promoción de las obras, y compris à l’étranger.
Las negociaciones duran más de cuatro semanas en los grandes estudios para renovar los contratos de los actores. En une conference de presse empreinte de colère, el presidente de SAG-AFTRA, Fran Drescher, la ancienne star del ciclo La niñera (en francés, Une nounou d’enfer), a expliqué que la grève était «un instrumento de dernier recurre» mais que les acteurs n’avaient pas le choix devant l’intransigeance des studios. « La manière dont ils nous traitent est choquante, at-elle protestó. Ils crient misère, ils disent qu’ils perdent de l’argent et en meme temps, ils distribuent des centaines de Million de Dollars à leurs PDG. C’est écœurant. »
«Vous ne pouvez pas existe sans nous»
La Alliance des producteurs de cinéma et de télévision (AMPTP), que reúne a los estudios históricos (Disney, NBCUniversal, Paramount, Warner Bros, Sony) y las placas (Netflix, Amazon, Apple…), a pesar de las pretensiones «poco realistas» de los actores Quelques heures avant la rupture des négociations, l’association avait afirmate avoir fait des positions significas, notamment une Augmentation » histórico « des rémunérations. « Une grève n’est Certainement pas le résultat que nous espérions, a déclaré l’AMPTP après l’annonce de la grève. Les studios ne peuvent pas fonctionner sans les artistes, qui donnent vie à nos films et noemissions. »
La producción de películas y programas de televisión debe estar en el callejón sin salida de los Etats-Unis, sauf pour les productions indépendantes non couvertes par les contrats de travail conclus sous l’égide des syndicats. Déjà, la fabrication de plusieurs séries, comme Cosas extrañas tú El cuento de la criada, a été interruptue. Les observateurs prévoient une grève longue, les deux camps étant persuadés qu’ils ont l’avantage. «Vous ne pouvez pas existe sans nous»a lancé Fran Drescher, après avoir rappelé que la grève a été approuvée par 98 % des membres de la Guilde, le taux « el plus élevé de l’histoire du syndicat ».
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